Comment et à quelle fréquence désinfecter votre téléphone pour éviter de tomber malade

Par Josue Bernard | août 10, 2021

Si vous êtes comme la plupart des gens, votre smartphone est pratiquement une extension de votre main. En fait, l'Américain moyen vérifie son téléphone environ une fois toutes les 10 minutes, pour un total de 96 fois par jour, selon une étude de novembre 2019 de la société mondiale de protection des technologies Asurion.

Les mains d'une femme tapant sur l'écran de son smartphone
Oui, vous devez désinfecter votre téléphone, et certaines méthodes sont plus efficaces que d'autres.
Crédit image : diego_cervo/iStock/GettyImages

Toute cette vérification s'ajoute à beaucoup de toucher. Mais votre téléphone n'est pas la seule chose que vos mains tiennent. Des poignées de porte de la salle de bain aux chariots d'épicerie en passant par les poteaux de métro, vos doigts tombent sur de nombreux objets sales. Et, il y a de fortes chances que la multitude de germes que vous avez rencontrés au cours de la journée finissent par s'accrocher à votre fidèle mobile.

Que vous preniez des précautions pour éviter d'attraper le coronavirus ou que vous essayiez simplement d'éviter le rhume, voici ce que vous devez savoir sur les agents pathogènes embêtants qui se cachent sur votre technologie et comment désinfecter votre téléphone.

Obtenir des conseils sur comment rester en bonne santé, en sécurité et sain d'esprit pendant la nouvelle pandémie de coronavirus.

Comment Germy Nos téléphones sont-ils ?

En termes simples : « Ils sont sales », dit Jason Kindrachuk, PhD, virologue à l'Université du Manitoba au Canada.

Pensez-y : vous lavez-vous les mains avant en utilisant votre téléphone ? Probablement pas.

Non seulement nous transmettons des germes à nos téléphones avec nos doigts sales, mais nous plaçons également au hasard nos appareils mobiles sur des surfaces qui peuvent être sales, dit Kindrachuk.

Exemple : Les chercheurs ont découvert qu'un téléphone portable sur six est contaminé par des matières fécales, selon une étude de 2011 menée par le London School of Hygiene